A vos classiques! le dimanche 17 mars 2024 à 17h00

A la salle des fêtes Lapalun 26170 Buis-les-Baronnies

 

Orchestre National Avignon Provence, direction de Debora Waldman

 

Les Sérénades en Baronnies sont ravies d’accueillir à nouveau l’Orchestre National Avignon Provence. Orchestre que nous avons accueilli à plusieurs reprises et avec qui nous entretenons une étroite collaboration qui nous a permis en 2022 d’emmener les collégiens de 3ème du collège Henri Barbusse assister à une répétition.

Fondé à la fin du 18ème siècle, l’Orchestre national Avignon- Provence appartient à ces orchestres qui, depuis longtemps, structurent la vie musicale française et y accomplissent les missions de service public de la culture : création musicale, diffusion et accompagnement des publics dans la découverte d’un répertoire vivant de plus de quatre siècles.

Grâce à sa politique artistique ambitieuse et curieuse, menée par Débora Waldman, Directrice musicale, l’Orchestre offre une profonde intelligence musicale et une rare souplesse dans l’approche des œuvres, quelle que soit leur époque ou leur style. Il accueille des solistes et des chefs de renom tout en favorisant la promotion d’artistes émergents. Il promeut l’ouverture à des esthétiques musicales diverses.

Orchestre national Avignon-Provence

Direction Debora Waldman

Dimanche 17 mars 2024 17h00 Salle des fêtes Lapalun à Buis les Baronnies (26170)
Tarif 20€, gratuit -18ans Réservations Billetweb (click): 20,50€   
Espèces, Chèque, Carte bancaire
  • Par téléphone : 04 75 28 23 18
  • Maison des Arcades: les mercredi et samedi précédant le concert de 10h à 12h30
  • Sur place le jour du concert

Au programme

  • Ludwig van Beethoven (1770-1827):  Coriolan
  • Joseph Haydn (1732-1809):  Symphonie n° 30
  • Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791): Symphonie n° 40

 

Dans l’Ouverture de Coriolan, Beethoven campe le destin tragique du général romain assassiné. Au thème martial et solennel du début font écho, dans la conclusion, trois pizzicati lapidaires qui referment cette courte épopée dans une nudité extrême.

Rarement jouée, la Symphonie n° 30 de Haydn (1765) fut composée dans le cadre de l’engagement du compositeur auprès du prince Esterházy. Le sous-titre « Alleluia » trahit la joie de vivre et l’exubérance qui éclatent par le biais des contrastes et de la brillance instrumentale.

Le concert propose enfin le chef-d’œuvre incontesté du répertoire classique, la Quarantième de Mozart (1788). Son caractère tourmenté et son dramatisme annoncent le romantisme et la création beethovénienne. Telle une course éperdue, le dernier mouvement se fait l’expression d’une inquiétude existentielle.